Skip to main content

Un trajet en ascenseur : c’est la durée moyenne dont nous disposons pour nous présenter et qui a donné naissance au concept d’elevator pitch (« argumentaire éclair », en anglais). Un savoir-faire qui se travaille pour réussir à toucher son interlocuteur. En quoi apprendre à pitcher est indispensable dans le marché caché et comment former les futurs diplômés ? C’est ce que nous allons voir ensemble ! 

Qu’est-ce qu’un bon pitch ?

Pitcher vise à présenter sa singularité professionnelle de manière brève et percutante. Cet outil s’avère indispensable au réseautage, que ce soit dans le cadre d’un afterwork, un salon étudiant ou lors d’une rencontre professionnelle prévue ou imprévue. L’enjeu de cette technique de communication se joue dans l’empreinte que l’on va laisser chez son interlocuteur. Afin de retenir l’attention et d’engendrer un souvenir positif, il faut donc que le pitch soit délivré avec une aisance naturelle au cours d’une rencontre, et surtout au bon moment. En effet, le pitch ne peut pas apparaître de façon impromptue sans que la conversation ait été initiée d’une façon ou d’une autre. Chez BeHave, nous distinguons 2 étapes cruciales inhérentes à TOUTE rencontre de réseautage, formelle ou informelle, prévue ou imprévue. Chacune nécessite de mobiliser un état d’esprit bien spécifique.

💡Retrouvez notre article sur la banalogie, ou l’importance de maîtriser les moments en apparence banals de la vie quotidienne !

Dès lors que les premiers instants sont passés et maîtrisés grâce à la banalogie, il est question d’orienter la discussion vers des enjeux plus « business » et rentrer dans le cœur de la discussion « réseau.
Tout l’art de cet exercice consiste à se révéler et à faire passer des messages subliminaux, « l’air de rien », sans être centré sur soi-même mais en amenant des sujets extérieurs qui, en creux, donnent à voir sur ce que nous sommes ou savons faire…

Sur le fond, le pitch doit subtilement aborder : 

  • qui je suis ;
  • ce que j’ai fait ;
  • ce que je veux faire ;
  • là où j’excelle particulièrement.

Dans le cadre d’un entretien – autour d’un café ou lors d’un déjeuner à la cafétéria de l’entreprise par exemple –, il est bon également de préciser le but de l’échange en plus de la présentation personnelle. Pour qu’il ne s’apparente pas à du démarchage « lourd », il ne faut pas oublier de garder en tête pendant le pitch que l’objectif de la rencontre est de partager des informations, non pas d’abord d’obtenir un stage ou un emploi ! Trouver un travail doit en effet rester la conséquence heureuse d’une bonne activité de réseautage

💡Retrouvez notre article vous expliquant comment le marché caché s’apparente à une chasse au tréseaur, en quête d’informations précieuses !

Sur la forme, il convient de veiller à trois éléments pour délivrer un pitch percutant : 

  • la communication non verbale (gestuelle, expression) ;
  • la voix (ton, intonation, accent) ;
  • la sémantique (le choix des mots). 

Au fond, le pitch est au marché caché ce que le C.V. est au marché ouvert : tout sauf une improvisation !

Apprendre à pitcher, une formation indispensable au réseautage

Pendant ses études ou au début de sa vie professionnelle, un jeune a rarement l’occasion d’apprendre à pitcher. Et pourtant, cette clé pourrait lui ouvrir tellement de portes… ! 

Une formation pour apprendre à pitcher lui permettrait de savoir quoi dire et comment le dire. De fait, trouver un travail consiste surtout à maîtriser l’art de la rencontre.

Cette compétence fait l’objet d’un module entier du parcours de formation expérientiel Before : la « pitchologie », ou autrement dit l’art de pitcher. Une véritable grammaire du pitch appliqué au réseau a été conçue, éprouvée et affinée pendant plus de 5 ans au contact de milliers d’alumni en France et en Asie. Elle développe une approche unique, centrée sur l’analyse croisée des visions/missions de grands groupes internationaux. Grâce à cette « fabrique à pitch », l’étudiant est amené à identifier et étoffer le champ sémantique le plus proche de son positionnement professionnel et à l’exprimer avec un point de vigilance particulier : la chasse aux mots creux.

 

Être capable d’exprimer en une vingtaine de mots très précis la singularité professionnelle d’une personne : c’est l’objectif poursuivi par Before pour aider chaque étudiant à créer de la confiance et développer ses opportunités professionnelles. L’idée est de cibler puis exprimer le besoin spécifique, le « caillou « business » dans la chaussure » de son interlocuteur afin de lui faire percevoir à travers un bon pitch, comment notre expertise va y répondre.

 

Plus largement, le parcours pédagogique Before offre, à travers la réalité virtuelle, un entraînement de comportement, à la manière d’un réflexe de Pavlov : cette expérience innovante permet d’acquérir les bons automatismes nécessaires au marché caché de l’emploi afin de bénéficier des meilleures opportunités. Un véritable boosteur de maturité professionnelle : nul doute que vos futurs diplômés vous en remercieront ! 

 

🤝 Vous souhaitez en savoir plus sur le fonctionnement de la formation Before ? N’hésitez pas à me contacter par mail (contact@behave-careers.com) ou au 06 70 15 89 07 : à très vite autour d’un café !

Jean Baptiste Morin

About Jean Baptiste Morin

Leave a Reply